« La tentative désespérée de Rudy Hériveaux d’attaquer la crédibilité de l’Administration de la station, en plus de son aspect mesquin et goujat, relève de la petitesse et est une illustration patente de diffamation », souligne la direction générale de Radio Ibo dans une note de presse en date du 23 avril 2014.
Soumis à AlterPresse le 23 avril 2014
Le Directeur Général de Radio IBO a appris de l’étranger, les attaques dirigées contre la station par le Ministre de la Communication, Rudy Hériveaux.
Nous ne savons pas quelle rancœur, difficile à contenir, a pu pousser M. Hériveaux à sortir du sujet d’une conférence de presse pour régler ses comptes avec Radio IBO.
Pour la vérité, et afin que nul n’en ignore, Radio IBO n’a pas organisé de collecte de fonds en faveur de son collaborateur, malheureusement disparu depuis, Duly Lambert.
L’initiative venait de quelques collègues de notre Salle des Nouvelles, appuyés par quelques amis du regretté défunt.
Radio IBO n’a, de ce fait, reçu aucune contribution, ni de Rudy Hériveaux ni des autres contributeurs, à l’exception d’une prestigieuse institution qui a émis, à l’ordre de Radio IBO, un chèque destiné à Duly Lambert pour le paiement de six séances de chimiothérapie. Ce montant a été remis à l’intéressé par un chèque de la station.
Aussi, Radio IBO n’était-elle pas comptable des fonds collectés par le comité d’initiative qui, en toute transparence, a versé les montants à la personne concernée.
Pour cela, la tentative désespérée de Rudy Hériveaux d’attaquer la crédibilité de l’Administration de la station, en plus de son aspect mesquin et goujat, relève de la petitesse et est une illustration patente de diffamation.
A Radio IBO, nous croyons au devoir de solidarité pour l’atteinte des objectifs de fraternité, inscrits à notre devise nationale.
Mais, si chaque acte de solidarité devait être révélé et traité comme l’a fait monsieur Hériveaux, personne ne voudrait en être l’objet.
Au nom de ce devoir de solidarité, induite par la fraternité, nous invitons les nombreuses personnes et institutions qui aident, tous les jours, des centaines de milliers de compatriotes en difficulté à faire face à de multiples obligations, à continuer à partager, dans l’anonymat le plus parfait, sans tapage dégoutant ni publicité.
Il y va de la dignité des bénéficiaires, en attendant que notre pays, dirigé et organisé autrement, leur offre de meilleures perspectives d’assumer leurs responsabilités en toute autonomie.
Fait à Delmas, le 23 avril 2014
Hérold Jean-François
Directeur Général
Radio IBO