P-au-P, 21 mai 2013 [AlterPresse] --- Les marchandes de Kenscoff (municipalité à l’est de la capitale), qui sont également des agricultrices, affrontent des situations pénibles, de la plantation jusqu’au marché, constate une équipe d’AlterPresse et d’Accès-média.
Pour cultiver la terre et en tirer les maigres ressources de leur survie, ces femmes doivent aller chercher l’eau et la transporter sur leur tête, lorsqu’il y a sécheresse.
Faute de dispensaire, certaines meurent en couche.
Au marché, après un très long trajet, elles sont parfois violées par des bandits, quand ces derniers ne volent pas leurs marchandises et leur argent.
Elles réclament protection et respect de leurs droits.
[srh gp apr 21/05/2013 14 :00]
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